Changement climatique et migration: l’exemple du Bangladesh

Monde, 27.02.2025 – Les personnes qui doivent quitter leur foyer en raison du changement climatique ne partent pas loin. C’est la conclusion d’une étude menée par l’École polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ): «La migration liée au climat est très localisée.» Pendant quatre ans, une équipe de chercheur·ses ont suivi 2200 personnes vivant au nord du Bangladesh. «Durant ces quatre ans, plus de dix pour cent des habitants ont quitté leur village. La plupart sont allés dans un village voisin, quelques-uns dans des villes proches, et seulement pour un temps. Presque personne n’est parti à l’étranger.».

Sources: rts.ch, «Le changement climatique influence la migration, mais pas toujours comme on le pense: l’exemple du Bangladesh», 27.02.2025 ; swissinfo.ch, «Le changement climatique influence la migration, mais pas toujours comme on le pense: l’exemple du Bangladesh», 27.02.2025.

Cas relatifs

Cas individuel — 01/12/2023

“J’ai travaillé toute ma vie, pour ne pas avoir d’indemnité de retraite du tout!” Cas-Témoignage

Arrivée trop âgée en Suisse pour toucher l’AVS (à 62 ans), Anoula* doit attendre 11 ans avant d’obtenir des prestations complémentaires.
Cas individuel — 25/04/2022

Une femme trans* subit des persécutions LGBTIQphobes en Suisse

Témoignage. Une femme trans* obtient l’asile en Suisse au motif de nombreuses persécutions LGBTIQphobes subies dans son pays d’origine. Son parcours pour obtenir l’asile en Suisse est émaillé de discriminations dans sa prise en charge et d’agressions transphobes dans ses lieux de vie.
Cas individuel — 16/05/2017

Le SEM ne le reconnaît pas comme mineur et lui refuse l’asile par erreur

Requérant d’asile afghan de 16 ans, « Imran » n’est pas reconnu comme mineur par le SEM. Il est ainsi contraint de vivre avec des adultes, situation stressante et effrayante pour lui, qui souffre déjà de problèmes psychiques et d’insomnies. De plus, le SEM rejette sa demande d’asile et rend une décision de renvoi. Suite à un recours au TAF, le SEM finit par reconsidérer sa décision, admet la minorité, la qualité de réfugié et lui octroie l’asile.
Cas individuel — 18/06/2007

Brisée par des viols, elle reste par erreur 7 mois à l’aide d’urgence

Incapable de parler des viols qui l’ont traumatisée, "Yeshi" est frappée de non entrée en matière. Lorsqu’elle parvient à parler à sa thérapeute des violences qu'elle a subies, l'ODM laisse passer 7 mois avant de traiter sa demande de reconsidération. 7 mois de trop à l’aide d’urgence.