Les conditions d’accueil mettent en péril la santé mentale des migrants
Mise à jour
Integer posuere erat a ante venenatis dapibus posuere velit aliquet. Integer posuere erat a ante venenatis dapibus posuere velit aliquet. Nullam quis risus eget urna mollis ornare vel eu leo. Vivamus sagittis lacus vel augue laoreet rutrum faucibus dolor auctor. Donec ullamcorper nulla non metus auctor fringilla. Maecenas sed diam eget risus varius blandit sit amet non magna. Donec sed odio dui. Etiam porta sem malesuada magna mollis euismod. Donec ullamcorper nulla non metus auctor fringilla.
Le 19 octobre 2017, l’Université de Genève a publié un communiqué de presse présentant une étude sur les conditions d’accueil dans les pays de l’UE et leur impact sur la santé mentale des migrants. Cette synthèse de dix ans de recherche a été menée par des chercheuses des Universités de Genève et de Neuchâtel. Elle révèle que les symptômes du syndrome de stress post-traumatique (PTSD) liés aux possibles traumatismes vécus par les migrants sont aggravés, ravivés voire même causés par les conditions d’accueil difficiles qui leur sont réservées. Entre l’exigence d’une rapide intégration et un statut précaire faisant obstacle à cette même intégration, les migrants font face à des injonctions contradictoires, facteurs d’anxiété. C’est notamment le cas des titulaires de permis F qui, malgré des séjours durables en Suisse, peinent à s’intégrer sur le marché du travail comme le souligne le rapport de l’ODAE romand « Permis F : admission provisoire ou exclusion durable ».
Sources : Communiqué de presse de l’Université de Genève, 19 octobre 2017, Rapport « Permis F : admission provisoire ou exclusion durable ? »